mardi 24 juillet 2012

le mardi sur son 31, # 2


Me revoilà pour le rendez vous du mardi avec cette fois, une phrase tirée de mes deux "en cours" : La vie sexuelle des supers-héros de Marco Mancassola :

"Elle lui serra le bras comme si elle voulais le rassurer ou réaffirmer une appartenance, je suis à toi ou quelque chose de ce genre."



La scène est vue par Red Richard, Mr. Fantastic que l'on suit dans cette première partie du livre... 
Billet à suivre, mais pas toute suite (c'est un pavé, à peine commencé...).


mardi 10 juillet 2012

Rose, Tatiana de Rosnay

Pourquoi ce livre ? 
C'est un livre que j'ai reçu à l'occasion d'un swap "les cinq sens", merci à reve pour cette découverte ! 


L'histoire : 
Rose prend la plume pour écrire à son mari, mort quelques années plus tôt pour répondre à la promesse qu'elle lui a faite de ne jamais abandonner leur maison de famille. Cette maison, située sur le tracé du nouveau boulevard Saint Martin à Paris est menacée de destruction à l'occasion des travaux de modernisation de Paris par le baron Haussmann sous le second empire.
C'est l'occasion pour elle de revenir sur leur vie commune, des années de bonheur entrecoupés de drames familiaux, sur sa vie après le deuil mais aussi de faire quelques révélations, des pensées, des évènements gardés secrets jusque là... 
C'est aussi, au final, un roman épistolaire puisqu'il s'agit d'une lettre écrite au mari décédé mais que l'on y retrouve, de temps à autres, des lettres adressées à Rose qui permettent de répondre en quelque sorte au long monologue de Rose.

Mon avis : 
Mon avis se fera nuancé : j'ai apprécié l'oeuvre, apprécié de me mettre à la place de Rose, cette femme qui va voir sa vie s'écrouler en même temps que sa maison; de vivre avec elle cette "résistance". Cela m'a donné envie de lire les oeuvres de Zola, Hugo et autres Baudelaire pour voir, connaître leur vision de la modernisation de Paris. 
Outre la valeur historique, c'est l'histoire de Rose qui nous touche, son courage.
J'ai passer de bons moments. De bons et pas un bon. Oui. 
J'ai mis du temps à le terminer. Ce n'est pas le genre de livre qu'on ne lâche plus une fois entamé et qui souffre parfois de longueur... de répétitions... C'est à au moins une dizaine de reprise que l'on trouve l'expression "mais je ne t'ai pas tout dit encore et il me reste peu de temps..." Oui, mais... 
Je le recommande, avec quelques réserves cependant.


Un extrait : 
Comment pourrai-je jamais quitter cette maison mon amour ? Cette haute maison carrée, c'est ma vie. Chaque pièce a son histoire à raconter. Retranscrire l'histoire de ce lieu sur le papier est devenu un besoin terrible, irrépressible. Je veux écrire afin que nous ne soyons pas oubliés. Oui, nous les Bazelet de la rue Childebert. Nous avons vécu ici et, en dépit des embûches que le sort nous a réservées, nous y avons été heureux. Et personne, écoutez-moi bien, personne ne pourra jamais nous l'ôter.




l'avis d'Eulimene, Ici

Le mardi sur son 31 # 1

Je réponds aujourd'hui présente au rendez-vous instauré par Sophie : Le mardi sur son 31.
Ce rendez-vous consiste à trouver LA phrase dans le livre en cours, à la page 31. 



Voici donc pour moi aujourd'hui, une phrase de Rose de Tatiana de Rosnay, lecture en cours (très bientôt terminée) : 

"Quand enfin elle se tut, je lui dit doucement que je n'avais pas l'intention de partir."

cette phrase pour moi résume le gros de l'intrigue de ce roman... Rose ne veut pas quitter sa maison de famille dans laquelle elle a tant de souvenir avec son défunt mari Armand. Pour en savoir plus, rendez-vous dans quelques heures pour le billet complet sur Rose.

Une rose de notre jardin photographiée par Chérichou ces jours-ci.

vendredi 29 juin 2012

7 ans après... Guillaume Musso

Pourquoi un Musso ? ça ne te ressemble pas....
Hé non, ça ne me ressemble pas... mais, à 34SA, bébé a décidé de pointé son nez alors, séjour à la maternité itout... Je n'avais pas le droit au chocolat puisque insulinée et pis les fleurs ben... ça reste pas ! et en plus, je devais restée allongée un maximum pour que bébé reste au chaud. Ma marraine, connaissant mon goût prononcé pour la lecture m'a donc offert ce roman... Une façon pour moi de me confronter à Guillaume Musso, chose que je refusais de faire... à tord peut-être...

Ce que ça raconte : 
L’histoire de Sebastian, casanier, luthier de profession et de son ex-femme Nikkie. Il se sont séparés il y a 7 ans et se retrouve à l'occasion de la disparition de leur fils Jérémy. Jusque là tout va bien. Il ont, au terme du divorce, reçu chacun la garde d'un de leur jumeau. Jérémy est resté avec sa moman... mais il disparaît donc et les deux ex se mettent à sa recherche de New York à la jungle amazonienne en passant par Paris et le Mexique (si si, tout ça, en moins de 400 pages...).

Ce que j'en pense : 
C'est le genre de livre qui convient parfaitement à la farniente au soleil... (sauf qu'ici, fin juin, on a pas de soleil... ahum...) Le genre de livre qui se lit comme on regarde un bon film d'action : la personnalité des personnages n'est pas développée, on enchaîne les actions et coups de théâtre en tout genre, on se trouve face à des situation heu... invraisemblables... Mais voilà, on reste parce que, finalement, l'histoire nous tient, on veut savoir pourquoi ci, pourquoi ça et on arrive à la fin sans presque sans rendre compte.

Je ne suis donc pas convaincue par l'écriture de Musso mais j'ai passé un bon moment lecture dans l'ensemble. Je vois bien l'histoire adaptée au cinéma avec Bruce Willis dans le premier rôle.

D'ailleurs, la grande fan de Romain Duris que je suis ne résiste pas à la tentation de vous montrer ici une adaptation cinématographique d'un autre roman de Musso : Et après...


vendredi 22 juin 2012

Le Club des Incorrigibles Optimistes, Jean Michel Guenassia

Pourquoi ce livre ? 
La couverture qui m'a plu, de suite... une photographie noir et blanc, d'une autre époque. Un couple qui s'embrasse à la terrasse d'un café, lieu de rencontre, de convivialité, comme le laisse supposer également le titre et ce mot, club.
Le titre ensuite Le Club des Incorrigibles Optimistes... plein de promesses. Assez énigmatique, en somme.
Je n'ai rien lu de la quatrième de couv', rien lu sur ce qui se disait de ce livre... une plongée dans l'inconnu donc : je ne savais pas, mais alors pas du tout à quoi m'attendre...
Je n'allais pas être déçue...

Ce que ça raconte : 
L'histoire commence en 1980, la mort de J. P. Sartre... Michel, le narrateur rencontre un ancien ami, il prend des nouvelles "des autres", ils parlent "d'avant". Un livre qui parle d'amitié donc et de littérature.. Oui mais pas que. Très vite, nous repartons en arrière et suivons l’adolescence de Michel, jeune parisien, passionné de littérature, de photographie et de baby. Pour jouer au baby, il se rend au Balto, petit troquet parisien où, en poussant une porte, il va rencontrer Vladimir, Leonid, Pavel et les autres... des resortissants russes, pour la plupart qui, ensemble on créé le Club. Au fil des ans, Michel nous fait part des rencontres qui ont marqué sa vie et nous compte l'histoire de chacun de ses amis du club. Le club où il prend petit à petit ses habitudes, où il se met à jouer aux echecs, où il rencontre Sartre et Kessel. Mais le roman de Guenassia, c'est aussi l'après guerre en Russie, la période post-révolution, les idéaux communistes; la guerre d'Algérie et la période post-colonialiste... Bref, l'histoire se mèle à l'Histoire.
Je n'irai pas plus loin, laissant aux potentiel futurs lecteurs le plaisir de découvrir, comme je l'ai fait, ce magnifique roman...

Ce que j'en ai pensé : 
Parce que oui, j'ai beaucoup aimé ce roman... Et il vaut mieux... 729 pages tout de même. Mais on ne se lasse pas, pas une minute. Outre le fait que l'on apprend finalemen beaucoup de choses sur les périodes concernées, sur l'Histoire, on prend beaucoup de plaisir à suivre les déboirs de Michel, suivre ses rencontres, au club, à la cinémathèque, au jardin du Luxembourg, ses histoires de familles, ses bonheurs, ses malheurs...
Le roman est construits autour de non-dits qui s'éclairent à la fin du roman et donne à l'ensemble une belle cohésion. J'ai passé un long moment à repensé à tous les indices, à tout ces liens que l'on pouvait tisser entre Michel et ses amis du club. Le tout est très bien pensé, très bien construit et surtout très agréable à lire...
Un coup de coeur donc... Pas étonnant qu'il ait reçu de nombreux prix (prix Goncourt des lycéens, prix des lecteurs de Notre Temps...

Parce qu'un, des extraits valent mieux que mille louanges, quelques morceaux choisis : 
Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal. Je n'ai pas envie de serrer la main d'Hergé mais j'aime Tintin. p.52

Un homme mal rasé avec un imperméable élimé et taché a disparu derrière la tenture. Que faisait-il dans cette tenue en cette saison ? Il n'avait pas plu depuis des semaines. Mû par ma curiosité, J'ai écarté le rideau. Une main malhabile avait écrit sur la porte : "Club des Incorrigibles Optimistes". p.87

Les enfants ne connaissent pas la vie de leurs parents. Quand ils sont jeunes, il n'y pensent pas car le monde a commencé avec eux. Leurs parents n'ont pas d'histoire et ont la mauvaise habitude de ne parler aux enfants que de l'avenir, jamais du passé. C'est une grave erreur. Quand ils ne le font pas, il reste toujours comme un trou béant. p.172

Il y a dans la lecture quelque chose qui relève de l'irrationnel. Avant d'avoir lu, on devine tout de suite si on va aimer ou pas. On hume, on flaire le livre, on se demande si ça vaut la peine de passer du temps en sa compagnie. C'est l'alchimie invisible des signes tracés sur une feuille qui s'impriment dans ntre cerveau. Un livre, c'est un être vivant. Les gens, rien qu'à les voir, vous savez à l'vance si vous serez leur ami. p.332

mercredi 20 juin 2012

Un grand merci !


 J'ai eu la chance, ce lundi matin, de recevoir le Liebster Blog, de la part de EmiR :


Un grand merci donc ! Ce blog, encore tout petit me tient à coeur et j'espère le voir vite grandir pour partager, encore et encore mes coups de coeur livresques...


Ce prix vise à faire découvrir les "petits" blogs qui reçoivent la visite de moins de 200 personnes... sans me soucier de ce chiffre, voilà ma sélection pour le Liebster des blogs sur lesquels j'aime passer du temps :

à une camarade de la faculté de lettres d'abord qui partage, avec passion, ses lectures : Euli,
à une camarade du net, Stephie, et son blog qu m'a donné envie de me lancer dans l'aventure bloguesque,
à une autre blogueuse, Cécile, que j'ai découvert il y a peu lors de mes promenades sur le net...,
à une maman pleine de talent, Artemis car j'adore ce qu'elle fait et que j'admire tous ces scraps, pour le moment, sans oser me lancer...,
Et pour finir, encore quelqu'un qui a un talent fou : Hélène Zö




Un grand merci encore à Stephie qui, grâce à son activité bloguesque épatante et son concours Lattès va me permettre de découvrir Le livre des copines de Laurence Caracalla et, par la même occasion, les éditions Lattès..



Encore trois semaines de concours : concours Lattès, semaine 2

vendredi 1 juin 2012

Bye bye Blondie de Virginie Despentes

Pourquoi j'ai choisi ce livre : 
Besoin de quelque chose de cru, d'authentique...
Je me suis souvenue de ma lecture d'Apocalypse bébé de Despentes...
Despentes plait ou déplaît, sans juste milieu, de ce que j'en sais. Rares sont ceux qui m'ont dit aimer. J'adore...


L'histoire : 
Gloria est internée pour violence envers ses parents alors qu'elle n'a que quinze ans. En Hôpital Psy, elle rencontre Eric qui n'a pas de réelles raisons d'être là... Il est sous le charme, aime sa façon de s'ennerver, pour un oui, un non, pour rien en somme. Il aime sa grande gueule. A sa sortie, il lui écrit mais elle n'y croit pas. Jusqu'au jour où Gloria sort, enfin, ils se retrouvent par hasard et partent, ensemble, libres dans un road trip à travers la France, dans le monde Punk des années 1980. Mais l'aventure est de courte durée, ils se perdent...
Le livre commence alors qu'ils se retrouvent, à plus de trente ans, par hasard, à Nancy... Elle est toujours punk, chômeuse, SDF. Il est devenu présentateur télévision, riche, un monde les séparent...

Ce que j'en pense : 
J'ai beaucoup aimé malgré l'écriture très brutale de Despentes, la déconstruction des phrases, du texte. En effet, le livre parfois semble être écrit directement par Gloria... en trois jours, en une fois...
J'ai aimé la structure en deux temps : l'histoire de leur jeunesse, leurs retrouvailles presque vingt ans après.
C'est un livre qu'on ne lâche plus une fois commencer : où va mener cet amour presque interdit de deux êtres si différents pourtant si proches ? L'amour sera-t-il, la deuxième fois, aussi destructeur que la première fois ? Qui, de Gloria ou d'Eric est le plus destructeur ?
Tout cela sur une bande originale signée les Bérurier noir... de quoi me replonger dans mes années punk-rock, lorsque j'avais MON groupe, MES musiciens et que l'on jouait, dans les petits bars, un medley des Béru, justement... Lorsque je pensais moi aussi que le punk rock était notre seul horizon...

Gloria :
Gloria n'est pas son vrai prénom. Initialement, ses parent l'avaient baptisée Stéphanie. Mais dès l'école primaire, elle en changeait, chaque début d'année elle tentait le coup. Ca mettait le boxon quand les maitresses s'en rendaient compte, ça rendait les autres gosses méfiants, quand ils réalisaient qu'elle mentait. Elle avait presque lâché l'affaire quand la princesse homonyme fut médiatisée. Là, Gloria comprit qu'il était temps de s'y remettre, et sérieusement.

Eric : (quatrième de couv') :
Une fille qu'on rencontre en HP n'est pas une fille qui rend heureux. Il voulait jouer contre le reste du monde, avoir raison conre toutes les évidences, il pensait que c'était ça l'amour. Il voulait prendre ce risque, avec elle, et qu'ils arrivent sur l'autre rive, sains et saufs. Mais ils réussissent juste à s'entraîner au fond.



L'avis d'Eulimene, Ici

jeudi 24 mai 2012

Le plus bel âge, Joanna Smith Rakoff

Me revoilà, en retard. Mais j'ai des cisrconstances aténuantes : le 09 mai 2012, Eloïs, 4kg05, 53cm est né, à 14h14. Depuis, je dors debout...

Mais voilà mon billet sur Le plus bel âge.


Pourquoi j'ai choisi ce livre dans mon espace culturel : 
La couverture d'abord : un flou, une femme au premier plan, adulte et, à l'arrière plan, une ville, New York. Le tout dans un dégradé de bleu-gris.
La quatrième de couv' ensuite : Il sont six. Six amis d'université, un vieux fantasme : créer une bande, une bande d'amis inséparables. New York, la cité qui ne dort jamais deuxième fantasme d'adolescente attardée : la grande pomme : New York, sur lequel j'avais bossé en seconde, en 2001, juste après le drame du World Trade Center. Ils vont se bruler les ailes aux lumières de la ville ici, la référence à Ycare, à son désir de monter toujours plus haut et qui finira par se brûler les ailes est éloquente : nous sommes face à un roman d'apprentissage, où les héros et héroïnes vont voir leurs ambitions, leurs fantasmes s'évanouir devant la rudesse de la réalité... sortes de Mme Bovary en puissance. Une génération perdue cherche sa place ouiiii, ayant travaillé l'année dernière sur le thème "génération(s)" avec mes BTS, je sais que la génération des 25-35 ans (dont je fais partie) peine à trouver sa place... le monde avance, elle est déstabilisée... alors je dis Oui !
Dernier argument : le nombre de pages : j'aime les pavés, les livres qui me tiennent...

Ce que j'en ai pensé : 
La lecture des premières pages est laborieuse : nous faisons connaissance des six amis lors du mariage de Lil. Il est très difficile de s'y retrouver dans ce flot de personnages que l'on rencontre, d'un bloc, au début du roman. Ce sentiment se retrouvera à plusieurs reprises lors de la lecture puisque, chaque chapitre étant consacré à un personnage différent, on peut parfois se poser des questions : elle bossait dans quoi elle ? elle était avec qui ?
La structure, qui pose ce problème de remémoration, est néanmoins un atout : Nous retrouvons nos six personnages à travers différents points de vue. Nous avons de leurs nouvelles à travers les yeux des autres ce qui est très interessant. De plus, cela crée une sorte d'attente, de suspence qui tient en haleine (et il vaut mieux, le livres comporte tout de même près de 700 pages).
Le roman commence donc par un mariage. Cet acte solennel qui marque, d'une certaine manière (il y en a d'autres) l'entrée dans le monde adulte, sérieux, rangé. La fin des illusions d'étudiants, l'entrée dans les rangs. C'est comme cela que les amis de Lil voient ce mariage. Ils feront tous, au fil des pages, leur entrée dans ce monde. Roman d'apprentissage donc où le lecteur peut, à un moment ou un autre se retrouver. Les thèmes abordés dans ce roman sont nombreux et chacun peut y retrouver une part de son histoire. Folie, grossesse, maladie, mort, naissance, amour heureux ou malheureux... Chacun y trouvera une part de vécu, y retrouvera une connaissance, un ami... Cet aspect du roman de Joanna Smith Rakoff m'a beaucoup plus...
Un autre aspect du roman est la manière dont on essaie toujours de se montrer autre que l'on est, toujours faire semblant, paraître pour finalement se rendre compte que tout le monde a son lot de secret et que la vie, si elle n'est pas toujours rose, ne l'est pas pour tout le monde, que tout le monde est pris dans cette spirale qu'est la vie.
Passées les premières pages et la confusion entre les personnages, je n'ai plus laché ce roman.

Ce roman donne une vision assez pessimiste de cette "génération perdue", peu de personnages sortent indemnes de ce passage dans le monde adulte, cette perte des illusions. Malgré tout, ce n'est pas cet aspect qui reste lorsqu'on referme ce livre dont je conseille la lecture sans hésitation.

Joanna Smith Rakoff

Deux morceaux choisis : 
"Leurs voix résonnèrent d'un bout à l'autre de la petite salle sombre, et, dans les éclats de miroir qui carrelaient les murs, ils se voyaient à la fois reflétés en mille exemplaires et brisés en autant de morceaux."
"Elles se croyaient alors à l'abri des risques banals de la vie d'adulte. Pour elles, le mariage de Lil avait été un jeu, presque une bonne plaisanterie. Comme elles avaient été naïves."



vendredi 27 avril 2012

Bonjour et Bienvenue !

Je regarde avec envie, depuis bien longtemps, les Blogs de lecture que je rencontre sur la toile et l'idée à fait son chemin de me lancer, moi aussi dans la Blogosphère... me lassant petit à petit des Facebook et autres "réseaux" sur lesquels je ne trouve pas l'occasion de partager sur les livres.

Ce "pitit" que je m'apprête à lancer sur la Toile se veut modeste partage de mes lectures et autres découvertes culturelles, lieu d'échange avec d'autres "blogueurs", vitrine aussi, pourquoi pas (?) de mes "créations" (si modestes soient-elles, elles aussi...)
J'essayerai d'approvisionner ce blog aussi régulièrement que possible et espère d'ores et déjà qu'ils recevra bon accueil... 

Bonne lecture et, n'oubliez pas,